Je reprends le sujet … mais d’abord je voudrais manifester mon partage de ce qui a été écrit (je crois par Vieborg) à propos de la composante "chance” … est certainement un composant essentiel.
Jean-Pierre Dubois est reconnu par le monde entier comme l’un des meilleurs (sinon le meilleur) “homme de cheval” néanmoins Il a décidé de vendre Varenne …
De manière analogue, il est certainement très intéressant, et fascinant, d’étudier les lignées et les croisements, mais ceux qui élèvent sont généralement bien conscients qu’ils ne se mettent pas dans la peau du "petit chimiste" … il serait assez présomptueux de penser qu’en mélangeant différents pourcentages de "substances" (lire ascendance) il est possible d’obtenir le résultat prévu … si c’était si "simple" il serait intéressant de connaître les motivations de la "variété" des résultats de production de Double Coverage (poulinière américaine) avec le même étalon .
Penser à prouver des théories en signalant un nombre limité de cas réussis sur des centaines de milliers de croisements chez les trotteur il est à la limite du grottesque.
Mais maintenant je reviens vraiment au sujet.
Dans le secteur des courses des cheavaux il y a des professionels dont la principale source de revenu est déterminée par leur travail dans le secteur (mais cela vaut également pour d’autres secteurs économiques sains) par exemple: entraîneurs, drivers, maréchal-ferrant, gérants d’étalons, vétérinaires, transporteurs de chevaux …
Pour les propriétaires de chevaux de course, la situation est différente, je pense que nous pouvons être d’accord sur le fait qu'il est impensable d’imaginer de s'assurer la principale source de revenus grâce au "travail" de “propriétaire de chevaux de course”.
La passion induit des sujets (qui ont dans d’autres domaines leur principale source de revenus) à "s’amuser" en achetant des chevaux pour les courses, sans exclure évidemment la possibilité d’obtenir des bénéfices économiques.
Les éleveurs devraient plutôt "ressembler" aux premières catégories que j’ai citées, donc leur principale source de revenu devrait (j’ai utilisé le conditionnel) être générée par l’activité d’élevage.
Il est vrai qu'l y a beaucoup d'éleveurs qui peuvent (ayant la principale source de revenu dans d’autres secteurs économiques ) se permettre de perdre de l’argent en élevant des chevaux de course. pour le plaisir, un peu comme pour la catégorie des propriétaires.
Les éleveurs qui ont d'autres sources de revenus peuvent se permettre de supporter des lourdes pertes économiques, c’est-à-dire en vendant des poulains à des prix bien inférieurs au coût de production, situation impensable pour les autres éleveurs, les éleveurs dont la principale source de revenus est l’élevage, ces derniers subissent donc une "concurrence déloyale" de la part de leurs collègues.
Comment les éleveurs sont-ils répartis, en pourcentage du nombre de naissances et du nombre d’élevages, entre les deux types?