Eric Raffin

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07 DĂ©c 2017 17:03 #11

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RĂ©ponse de Eleazar sur le sujet Eric Raffin

11 Jan 2018 21:02 #12
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RĂ©ponse de Tanus sur le sujet Eric Raffin

Pas besoin de savoir Ă©crire pour travailler Ă  Equidia !!!
Merci pour ce message de la part de : ivct, icare
11 Jan 2018 22:12 #13

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RĂ©ponse de Eleazar sur le sujet Eric Raffin

Le Trot - Eric raffin, le pilote complet

Il entretient une histoire trĂšs personnelle avec le Grand Prix d’AmĂ©rique. La course qui fait rĂȘver tous les fans et les professionnels du Trot. Eric Raffin, pilote complet, sera au sulky de Valko Jenilat dans la plus grande course au monde.


© APRH

28 janvier 1990. Eric Raffin a 8 ans. A ses cĂŽtĂ©s, son frĂšre aĂźnĂ© Olivier. PrĂšs de 30 000 spectateurs Ă  Vincennes Hippodrome de Paris sont venus applaudir le roi Ourasi pour son incroyable tentative de quatriĂšme victoire dans le Grand Prix d’AmĂ©rique. Mais les deux frangins n’ont d’yeux que pour Pussy Cat, la jument entraĂźnĂ©e par leur pĂšre Jean. Et quand celui-ci propulse la championne en tĂȘte de course dans la descente de Vincennes, juste sous les yeux embuĂ©s de ses deux fils, le frisson est immense, la sensation inoubliable. « On Ă©tait dĂ©jĂ  en pleurs de voir la jument de notre pĂšre en tĂȘte d’un Prix d’AmĂ©rique, ça reste un grand souvenir de gamin, un moment restĂ© gravĂ© Ă  vie » se rappelle Eric Raffin avec Ă©motion.

C’est le dĂ©clic, et il a beau ĂȘtre trĂšs Ă  l’aise avec ses pieds et un ballon rond, le jeune Eric se servira surtout de ses mains : il veut devenir pilote de courses de chevaux. Dans son antre familial, au cƓur de la VendĂ©e, rĂ©gion chĂšre aux Raffin oĂč le grand-pĂšre a lancĂ© ce qui deviendra une grande saga hippique, Eric nourrit son ambition et prouve qu’il a en lui ce petit plus qui ne s’explique pas. HĂ©ritage gĂ©nĂ©tique ? Apprentissage innĂ© aprĂšs des annĂ©es passĂ©es en bord de piste Ă  voir son pĂšre et son grand frĂšre s’illustrer en course ? Motivation pour faire encore mieux qu’Olivier, sacrĂ© meilleur apprenti de France ? Tout Ă  la fois ? Allez savoir, en tout cas, le jeune homme est douĂ©, trĂšs douĂ©. Sa position Ă  cheval et sa main dans un gant de velours mĂȘlĂ©s Ă  son goĂ»t pour la compĂ©tition font de lui un incontournable des pelotons depuis prĂšs de dix ans dĂ©jĂ  ! A la clĂ© des succĂšs de prestige dans les deux spĂ©cialitĂ©s du trot, le montĂ© et l’attelĂ©, preuves de son Ă©clectisme. Une polyvalence rĂ©compensĂ©e par des Etriers d’Or (cinq au total) et surtout au combinĂ© (attelĂ©+montĂ©), titre qu’il a conquis encore en 2017, pour la quatriĂšme fois de sa carriĂšre.

Si le Grand Prix d’AmĂ©rique ne figure pas encore Ă  son palmarĂšs, dans son cƓur, c’est tout comme. En 2012, il concluait deuxiĂšme derriĂšre le phĂ©nomĂšne Ready Cash, au sulky de Roxane Griff, jument avec laquelle il remporta aussi le Grand Prix de Cornulier, l’équivalent de l’AmĂ©rique au montĂ©. Une championne Ă  son image, complĂšte, gĂ©nĂ©reuse et compĂ©titrice hors pair. Au sulky du combattif Valko Jenilat, vainqueur du Grand Prix de Bretagne, la premiĂšre Ă©tape qualificative pour la Finale des EpiqE Series, Eric Raffin pourrait lui aussi nĂ©gocier dimanche 28 janvier la descente de Vincennes en tĂȘte, comme son pĂšre Jean il y a 28 ans. A son tour, celui-ci sera parcouru par le frisson, qu’il rĂȘve secrĂštement de faire durer jusqu’au poteau d’arrivĂ©e.
17 Jan 2018 20:47 #14
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03 Mar 2018 19:05 #15
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11 Avr 2018 16:18 #16
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RĂ©ponse de Eleazar sur le sujet Eric Raffin

Paris Turf - Eric Raffin : “Je suis le jockey du peuple...”
Par Jean-François MEYER | Publié le dimanche 15 avril 2018


Eric Raffin

Mardi soir Ă  Vincennes, c'est le poing levĂ© qu'Éric Raffin franchit le poteau d'arrivĂ©e en vainqueur, en selle sur Full of Charm. Avec ses cinq victoires dans cette spĂ©cialitĂ© Ă  l'Ă©tranger (en SuĂšde, en NorvĂšge, en Finlande, en Belgique et en Hollande), le quintuple Étrier d'Or vient de mettre en plein dans le mille, en tant que jockey, aprĂšs une trĂšs belle lutte face Ă  Alexandre Abrivard. Un grand moment pour le VendĂ©en ĂągĂ© de 36 ans.

On ne peut Ă©voquer la rĂ©ussite des “Raffin” sans avoir une pensĂ©e pour le regrettĂ© Alexis Raffin, gagnant Ă  Vincennes au sulky d'Occitaine Ă  70 ans. Jean, dit “Jano”, l'homme de Pussy Cat, avait pris la relĂšve de son pĂšre, avant d'inoculer le virus des trotteurs Ă  ses fils, Olivier et Éric. Mardi, le cadet est entrĂ© dans le “club des cinq”, rejoignant quatre illustres jockeys ayant rĂ©ussi avant lui Ă  signer mille victoires au montĂ©. À sa rentrĂ©e aux vestiaires, celui qui ne se dĂ©partit jamais de son sourire a eu droit Ă  un accueil chaleureux, avec une petite douche au champagne. 

- Éric, les messages de fĂ©licitations ont dĂ» affluer, mardi, sur le coup de 22 h 10 ?

Il y en a eu pas mal, mais celui de mon pĂšre m'a beaucoup Ă©mu : “Bravo, je suis trĂšs fier.” Il n'est pas du style Ă  toujours complimenter, mĂȘme si cela lui arrive. Ma rĂ©ponse ne pouvait ĂȘtre autrement que : “C'est grĂące Ă  toi.” Mine de rien, il m'a tout appris, de A Ă  Z. C'Ă©tait mon maĂźtre d'apprentissage. Ma mĂšre, Catherine, m'a aussi toujours soutenu.

- Quand avez-vous commencĂ© Ă  monter ?

À 7 ou 8 ans, avec les poneys. AprĂšs, j'ai toujours Ă©tĂ© au cĂŽtĂ© de mon pĂšre. J'ai travaillĂ© des chevaux de bonne heure.

- À cru mĂȘme ?

Il m'a toujours dit que, si j'Ă©tais capable de trotter un cheval sans selle, je pouvais tous les monter. Cela m'a motivĂ©. Je l'ai fait avec deux ou trois, dont Faon des BruyĂšres (N.D.L.R. : Éric a gagnĂ© Ă  Vincennes avec ce protĂ©gĂ© de LĂ©on Dupont), avant de dĂ©buter en compĂ©tition Ă  seize ans. Mon pĂšre Ă©tait persuadĂ©, Ă  juste titre, que celui qui Ă©tait capable de faire ça possĂ©dait l'assiette et l'Ă©quilibre. C'est la base du jockey. Ce que l'on peut reprocher aux jeunes actuellement, c'est qu'en montant directement en avant ils ne travaillent pas trop ces deux choses essentielles. J'ai eu la chance d'ĂȘtre Ă  bonne Ă©cole, surtout qu'il avait Ă©tĂ© lui-mĂȘme jockey. Entre parenthĂšses, il avait formĂ© aussi GaĂ«tan Prat. 

- Revenons Ă  cette milliĂšme... Cela vous trottait dans la tĂȘte depuis un moment, n'est-ce pas ?

Depuis le dĂ©but de l'annĂ©e, c'Ă©tait mon objectif. Tout s'est bien enchaĂźnĂ©. J'ai ma bonne jument, Draft Life, qui m'a bien reboostĂ©. Je ne pensais pas les atteindre quand j'ai commencĂ©. Je n'ai que 36 ans. Cela fait une moyenne de cinquante par an... (Rires).

- S'il ne fallait en citer qu'une ?

La premiĂšre, avec DĂ©esse du Plessis. Quand tu es gamin, tu rĂȘves de monter et de gagner Ă  Vincennes. DĂšs ma deuxiĂšme course, le rĂȘve est devenu rĂ©alitĂ©...

- AprĂšs, il y a eu de trĂšs beaux succĂšs...

Mon premier “Cornulier”, avec Joyau d'Amour, ceux avec Roxane Griff et, bien sĂ»r, une grande victoire familiale, celle de l'Ă©motion, avec Hugo du Bossis, entraĂźnĂ© par mon pĂšre et mon frĂšre, qui m'a offert mon premier groupe I, le Prix de Normandie. Tout le monde Ă©tait en pleurs... de joie. Cela fait longtemps maintenant. Je ne vis pas avec mon passĂ©, pas assez certainement, mais je reste tout de mĂȘme nostalgique. Si tu me mets devant la tĂ©lĂ© Ă  regarder ce classique d'Hugo et que j'Ă©coute mon interview, je vais vite me dĂ©composer. Je m'Ă©meus de rien. J'ai aussi en mĂ©moire une grande victoire, palpitante, avec Nouba Turgot, dans le Prix des Élites. Parti aux cinquante mĂštres, j'Ă©tais venu toiser Paisy Deam. Mais, surtout, je battais le “taulier”, Philippe Masschaele.

- Mardi, vous l'avez rejoint dans le cercle trÚs fermé des jockeys aux mille victoires...

Avec aussi Michel Lenoir, mon beau-pĂšre Yves Dreux et Jean-LoĂŻc Dersoir. Mais, par-dessus tout, je tiens Ă  dire : “Merci Philippe de m'avoir ouvert les yeux et fait Ă©voluer avec la monte en avant.” Si je suis arrivĂ© Ă  ce score, c'est parce que j'ai rapidement pris le train en marche, Ă©tant le premier Ă  l'imiter, mĂȘme si Nathalie Henry avait dĂ©jĂ  les Ă©triers assez courts. Je n'ai pas peur de dire que j'ai essuyĂ© quelques critiques. Mais, mĂȘme si je gagnais dĂ©jĂ  des courses en chaussant long, cela a rapidement portĂ© ses fruits. Je faisais donc abstraction des commentaires, n'ayant pas de doutes sur les bienfaits. De plus, Philippe me disait : “Ne t'occupes pas des on-dit.”

- Au niveau palmarùs, qu'est-ce qu'il vous manque en tant que jockey ?

J'ai eu la chance de remporter tous les groupes I. Il me manque quelques groupes II, dont un qui est trĂšs mĂ©diatisé : le Prix Lavater. C'est marrant mais j'ai souvent manquĂ© de rĂ©ussite dans cette prĂ©paratoire au “PrĂ©sident”.

- Des regrets ?

J'ai fait quelques conneries sur des choix (sic) mais j'ai toujours essayĂ© de rester fidĂšle. J'ai souvent Ă©tĂ© rĂ©compensĂ© derriĂšre et ça ne m'a pas portĂ© prĂ©judice... (Il rĂ©flĂ©chit). Auriez-vous la possibilitĂ© de savoir pour combien d'entraĂźneurs j'ai gagnĂ© au trot monté ? Je suis sĂ»r qu'il y en a plus de cent car je n'ai pas Ă©tĂ© que le jockey d'une grosse maison. Cela doit ĂȘtre assez impressionnant...

- Énorme ! 241...

Pour cette raison, et je l'ai dit rĂ©guliĂšrement, je suis le “jockey du peuple”. C'est trĂšs bien ainsi. Quoi de mieux que de partager le plaisir.

- 1.000 succĂšs au montĂ© et, si tout se passe bien, vous allez atteindre les 3.000 au total en fin d'annĂ©e. Cela doit ĂȘtre au-delĂ  de vos espĂ©rances ?

J'Ă©tais loin de penser Ă  ça quand j'ai commencĂ©. Mon seul rĂȘve, c'Ă©tait de gagner des courses. AprĂšs, quand tu es en haut de l'affiche, tu ne veux plus en redescendre. C'est un cercle vicieux. C'est pour ça que j'ai toujours autant de pression malgrĂ© mon expĂ©rience. Celui qui n'en a pas, il est nul.

- Comme pour la condition physique ?

De l'entretenir fait partie de mon mĂ©tier. Quand tu es sur un cheval, tu dois te sentir comme dans ton canapĂ©. Si tu commences Ă  “tomber” aprĂšs avoir montĂ© le premier et que tu en as trois dans la rĂ©union... Il faut ĂȘtre au top. Mon pĂšre m'a toujours dit : “OĂč il faut ĂȘtre bon, c'est dans les derniers cinq cents mĂštres, pas en partant !” Étant free-lance, j'ai la chance, par rapport Ă  d'autres, d'avoir du temps pour faire du sport, surtout de la course Ă  pied et un peu de vĂ©lo ; pas tous les jours, avec les kilomĂštres passĂ©s sur les routes, mais trĂšs souvent lors du meeting d'hiver.

- Et au niveau alimentaire ?

Je monte Ă  67 kg (N.D.L.R. : le poids minimum pour les vieux chevaux), 66 en me faisant “sĂ©cher”. Le plus important, c'est le poids humain et non le poids mort. C'est vrai que, pour les poulains, 58 kg (poids minimum), c'est mieux, mais on ne peut pas tout avoir. Pour la nourriture, je dois faire attention et me prive en sautant des repas (N.D.L.R. : il Ă©vite souvent de dĂ©jeuner), mais, quand je me mets Ă  table, je mange Ă  ma faim. J'aurais peut-ĂȘtre dĂ» aller voir un nutritionniste, mais je ne l'ai pas fait. J'espĂšre ne pas avoir de problĂšmes Ă  l'avenir mais je me gĂšre comme ça. Quand j'arrĂȘterai de monter, je prendrai certainement deux ou  trois kilos, mais ça ne m'empĂȘchera pas de dormir...

- Rassurez-nous, ce n'est pas pour demain ?

Qu'on le veuille ou non, je fais partie des plus vieux des pelotons montĂ©s, avec Franck (Nivard), Jean-LoĂŻc (Dersoir) et Pierre-Yves (Verva), mais ça ne me fait pas drĂŽle car je me sens jeune. Le jour oĂč je serai “rasĂ©â€ aprĂšs le poteau et que le soir, fatiguĂ©, il faudra que j'aille me coucher, j'arrĂȘterai. Pour le moment, je suis extra physiquement et je ne peine pas.

- En regardant de plus prĂšs, on s'aperçoit que, sur vos 1.000 succĂšs sous la selle, 535 ont Ă©tĂ© obtenus Ă  Vincennes. Pas mal, non ?

C'est un peu normal car c'est lĂ  oĂč je cours le plus souvent. Vous pouvez regarder mais je suis sĂ»r que je n'en ai pas gagnĂ© cent en province lorsque les conditions mentionnaient “poids libre”. À 67 kg, alors que des gamins montent Ă  50 kg, vous ĂȘtes mort. C'est logique. Imaginez, quand j'ai dĂ©butĂ©, il y avait des â€œĂ©preuves AP” avec une avance de vingt-cinq mĂštres aux apprentis, sur les professionnels, en plus de l'avantage de poids qui pouvait aller jusqu'Ă  quinze kilos... En vingt ans, les choses ont beaucoup Ă©voluĂ©. Pour l'anecdote, lors de ma premiĂšre course Ă  Vincennes, je battais Laurent Abrivard, qui nous rendait la distance dans ce type d'Ă©preuve, sur un 2.175 mĂštres, et, pour la milliĂšme, je devance son fils, Alexandre...

- Mais, alors que vous Ă©tiez “chaud” dans la deuxiĂšme course mardi, c'est son frĂšre, LĂ©o, qui a retardĂ© l'Ă©chĂ©ance de deux petites heures...

C'est vrai que je pensais pouvoir l'emporter avec Dédé de Montauran. Gagner la milliÚme pour la famille Dubois est bien tombé. Que ce soit Jean-Philippe, Julien ou Louis Baudron, ils me font confiance depuis un bon moment et me restent trÚs fidÚles, à l'image de Sébastien Guarato, pour lequel j'ai gagné le plus grand nombre de courses montées (85), de Franck Leblanc et, naturellement, de mon beau-pÚre (Yves Dreux).

- Vous ĂȘtes en tĂȘte au classement des jockeys. En route pour un sixiĂšme Étrier d'Or ?

Ce n'est pas un objectif en soi. (Il insiste) Oui, oui, oui. Je ne m'en fous pas, la motivation est toujours là, intacte, mais nous verrons la situation au 1er novembre, en début de meeting...

- Et de tenter de battre le record de Michel Lenoir avec 1.235 victoires en tant que jockey ?

Ce sera si ma santĂ© me le permet. 
16 Avr 2018 23:34 #17
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RĂ©ponse de Eleazar sur le sujet Eric Raffin

Paris Turf - Dion Tesselaar et Eric Raffin sanctionnés
Par Johan Gérard | Publié le dimanche 9 septembre 2018


Dion Tesselaar et Eric Raffin ont été sanctionnés

La scĂšne n’est pas passĂ©e inaperçue ce samedi 8 septembre Ă  Vincennes, dans le Prix Emile Wendling (Gr. III). Dans la montĂ©e, Dion Tesselaar, au sulky de Fabio de Pervenche, a perdu son casque lorsqu’il a Ă©tĂ© percutĂ© par Fashion Queen qui Ă©tait dans son dos. Au sulky de cette derniĂšre, Eric Raffin a Ă©tĂ© sanctionnĂ©, aprĂšs enquĂȘte, par une mise Ă  pied de deux jours pour s’ĂȘtre tenu trop prĂšs de son adversaire. Dion Tesselaar a, quant Ă  lui, Ă©copĂ© d’une amende de 300 € pour ne pas avoir correctement ajustĂ© son casque.



DerniĂšre Ă©dition: 10 Sep 2018 22:56 par Eleazar.
10 Sep 2018 22:54 #18
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RĂ©ponse de Eleazar sur le sujet Eric Raffin

C'est un peu sévÚre pour E. Raffin qui n'y est pour rien ! non ?
10 Sep 2018 23:14 #19

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RĂ©ponse de iroisebleue sur le sujet Eric Raffin

disons que la mĂȘme amende pour les 2 aurait peut-ĂȘtre suffi ?
mais je ne sais pas vers quoi penche le code des courses, c'est vrai que se tenir prĂšs jusqu'Ă  heurter le casque reste dangereux,
mĂȘme si le casque est ajustĂ©. mais j'ai pourtant l'impression que cela arrive souvent, sans sanction...

des gens de terrain pour nous dire ce qu'ils en pensent ?
Merci pour ce message de la part de : Eleazar
10 Sep 2018 23:30 #20

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