J’admets mon ignorance en la matière, fait qui m’a probablement amené à trouver l’article intéressant, concerne un cas de dopage, mais …
l’entraîneur, sûr d’être innocent, a pu démontrer que la positivité relevée remonte à la période antérieure la prise en charge parmi ses effectifs du cheval “incriminé”.
Je ne connais pas les règlements, donc je vous pose une question: dans un cas comme celui décrit dans l’article, une fois que l’innocence de l’entraîneur (du cheval au moment du prélèvement) est établie, est-il possible d’attribuer automatiquement la responsabilité à l’ancien entraîneur?
Des cas similaires se sont-ils produits en France?
L’évolution des techniques d’analyse devrait donc permettre une justice plus... juste!
P.S.
Je ne sais pas si j’ai choisi la bonne catégorie pour ce sujet
www.thoroughbreddailynews.com/hiwu-drops...t-jeffrey-englehart/