Affaire des chevaux mutilés

Bonjour à tous!
Mais dans quel monde de cinglé nous vivons! Il faut vraiment avoir une case en moins pour avoir de tels agissements.
La cour d'assise pour ces individus ne serait pas de trop.

Ce genre d'acte fait-il de son auteur une merde ou une sous- merde ?

A minima un déséquilibré...

vieborg écrit: A minima un déséquilibré...

Ne lui cherchons pas d'excuses...

####

ce n'est pas dans les mêmes régions...il me semble ...

ivct écrit: ce n'est pas dans les mêmes régions...il me semble ...

non, 1 en Moselle et 1 en Vendée
mais même "oreille coupée" ... bizarre

www.paris-turf.com/actualites/un-cas-de-...rie-non-isole-250219

Un cas de sauvagerie non isolé

Par Sylvain COPIER | Publié le mardi 18 février 2020


Philippe Boutin a perdu un pensionnaire dans des circonstances tragiques. Photo : S. D.

“J’espère que les coupables seront retrouvés et iront en prison”, lâche Vincent sur la page Facebook de Paris-Turf suite à la parution de l'article relatant la mort violente ce week-end du pensionnaire de Philippe Boutin, Démon du Médoc. Cet article n'a évidemment pas laissé de marbre les lecteurs de notre titre (lire notre édition du 17 février) et les langues commencent à se délier. Outre un cheval tué le 12 février dans un lycée agricole lorrain, dont une oreille avait été coupée (comme pour Démon du Médoc), un autre méfait de ce genre se serait produit en septembre, cette fois-ci dans le Puy-de-Dôme, comme en témoigne la responsable d'une école d'ostéopathie pour animaux du département. “Une jument a été retrouvée morte avec l'oreille minutieusement découpée, le scalpe était net. Nous avons déposé plainte à la gendarmerie mais cela est resté sans suite.” Il faut savoir qu'en 2015 et 2016 de telles atrocités avaient aussi été commises en Belgique, le cadre dépassant largement le monde des courses. Y a-t-il eu d'autres tueries ? Y a-t-il un lien entre toutes ces affaires ? Seule une enquête de la gendarmerie sera en mesure de le démontrer.

france3-regions.francetvinfo.fr/pays-de-...paddock-1788665.html

Le Girouard en Vendée : un cheval de course retrouvé mort dans son paddock


Le trotteur "Démon du Médoc" a été retrouvé mort et mutilé dans son paddock. / © Philippe Boutin

Que s'est-il passé dans la propriété de cet entraîneur vendéen ? Philippe Boutin a découvert ce samedi matin un de ses trotteurs mort dans son paddock. Le cheval avait également eu une oreille coupée. Une enquête a été ouverte.

Par Olivier Quentin Publié le 17/02/2020

Philippe Boutin n'a pas de mots pour définir ce qui s'est passé : "On peut pas appeler ça un méfait, c'est pire que ça" se désole l'entraîneur installé au Girouard près des Sables d'Olonne en Vendée,

"Le cheval est sorti vendredi après-midi , raconte Philippe Boutin. Il devait courir ce weekend. Il était en grande condition. Le soir, il avait mangé vers 19h, tout allait très bien. On l'a retrouvé le lendemain matin mort dans son paddock et une oreille coupée jusqu'à la tête."

"des traces de glissade dans le champ..."
Philippe Boutin a fait constater les sévices par un vétérinaire. Le parquet a ordonné une autopsie pour connaître les causes de la mort du trotteur. Autopsie qui doit avoir lieu probablement ce mardi.

"On voit qu'il a essayé de ne pas se laisser attraper, raconte Philippe Boutin. Il y a des traces de glissade dans le champ. Une personne seule ne peut pas faire ça."

Selon lui, les personnes se sont introduites dans la propriété en passant par dessus le portail et sous les clôtures.

"Je connais mon cheval, il n'est pas facile à approcher, encore moins la nuit" témoigne cet entraîneur proche de ses chevaux et qui est encore sous le choc.

130 000 € de gains accumulés
Il avait loué le cheval pour sa carrière de course comme cela se fait souvent. "Démon du Médoc" qui venait de chez un naisseur de Bordeaux commençait à se faire un nom sur les hippodromes. Il avait fait notamment 4ème au Prix du Croisé-Laroche à Nantes le 15 décembre dernier.

Il avait atteint la somme de 130 000 € en prix divers et pouvait selon son entraîneur encore gagner : "Il était loin d'avoir fini sa carrière, il avait encore deux belles saisons à faire. Ce n'était pas un champion mais pour mon écurie c'était un bon cheval."

Quelques cas similaires
Une rapide recherche montre des cas similaires mais dans d'autres régions. L'un en Belgique en août 2016 et l'autre dans le Lot. Dans ce deuxième cas, il s'agissait selon ce qu'on en a dit d'un chasseur qui accidentellement avait tiré sur l'animal et avait probablement voulu récupérer sa balle.

Et plus récemment, il y a quelques jours, le 12 février, un cheval a ainsi été tué et mutilé dans un lycée agricole de Moselle.

Au Girouard, l'animal est-il mort d'une crise cardiaque alors qu'il tentait de fuir ? Le peu de sang autour de la plaie fait penser que l'oreille a été découpée post-mortem.

Philippe Boutin a déposé plainte contre X.