Christophe Soumillon

seabird35 écrit: Je viens de prendre connaissance de la confirmation des sanctions à l'encontre de Christophe Soumillon ! Cette ambiance délétère, animée par un de ses "collègues" du peloton, certes grand jockey, est vraiment la marque de la petitesse et de l'arrogance de ce "collègue" !!!

les explications sur le BO
www.france-galop.com/sites/default/files...4-08/bid_2024_32.pdf

Je sais et tout cela est bien confirmé par ces écrits !

seabird35 écrit: Je sais et tout cela est bien confirmé par ces écrits !

Ce n'est pas pour vous mais pour ceux qui n'ont pas vu de quoi il retournait au départ

Les commissaires, à l’image de la justice en général, digèrent mal de se voir contester une décision qu’ils ont rendue, même lorsqu’un complément d’information fait ressortir le caractère infondé ou abusif de la sentence. Ce faisant, ils laissent le champ libre à un renforcement du climat délétère observé à l’occasion des incidents concernés. Le comportement teigneux de M. BARZALONA, cristallisant la hargne d’un quarteron de ses collègues, n’augure rien de bon.

Dans ce genre d'histoire, chacun voit midi à sa porte, mais ce qui est sûr c'est que sur ce, et quoi qu'il en soit en réalité, Christophe Soumillon a intérêt à ne pas créer de problèmes vu ce qui s'est passé avec le jockey anglais qui lui a valu une suspension. Il profite déjà un peu d'une seconde chance.

BETTER TOGETHER : MIEUX ENSEMBLE !

Mickaël FABRE, André BARZALONA : commissaires au garde-à-vous ?

On sait à quel point Dédé déteste Soumillon, et cela depuis des années…

Deauville 30-07-2024 Prix de la Mère Mathilde – 1200 m LD : COREY BEACH (C.Soumillon/Y. Barberot) devance facilement BETTER TOGETHER (M.Barzalona /A.Fabre) de 3 longueurs ½.
Légère touchette à mi-parcours ; fureur théâtrale de Barzalona (plutôt fureur téléguidée par Dédé pour déclencher une enquête ?) : C. Soumillon écope d’une mise à pied de 3 jours.

Deauville 20-08-2024 Prix de Fierville – 1200 m LD : COREY BEACH n’y prend pas part ; BETTER TOGETHER se rachète en remportant l’épreuve, donnant l’impression d’une volonté rageuse de rattrapage (s’il avait gagné en juillet, le cheval n’aurait-il pas été dispensé de courir 3 semaines plus tard… ?)